Mondial Féminin : Les Bleues,une belle prime en récompense d’une victoire contre le

Les Bleues, opposées ce mardi au Maroc en 8eme de finale de la Coupe du monde, percevront une belle prime en cas de qualification pour les quarts.

L’équipe de France féminine de football disputera ce mardi (coup d’envoi à 13h, heure de Paris) au Coopers Stadium d’Adelaide son 8eme de finale de Coupe du monde face au Maroc, entraîné par le Français Reynald Pedros. Une opposition pour laquelle Hervé Renard, actuel sélectionneur des Bleues et ancien sélectionneur des Lions de l’Atlas, souhaite “un match du calibre de celui qu’on a joué contre le Brésil.” Malgré la probable défection de la joueuse de Montpellier, Maëlle Lakrar, les Tricolores ont bien plus qu’une simple qualification en quart de finale à aller chercher.

D’ores et déjà assurées de percevoir 53.400 euros chacune pour s’être extirpées de la phase de poules, les joueuses de l’équipe de France verront leur bourse logiquement gonfler en cas de qualification pour les quarts. La somme de 80.000 euros leur est promise. Une dotation versée directement par la FIFA aux actrices après la compétition. Bien que ces sommes demeurent relativement éloignées des primes allouées aux hommes, elles sont assez inédites. En cas d’accession au dernier carré de ce Mondial 2023, le classement des Bleues déterminera leur récompense finale.

244.890 euros pour chaque joueuse en cas de sacre

La somme de 149.655 euros leur sera accordée si elles terminent quatrièmes. Si le scénario les voit remporter la petite finale, elles percevront 163.260 euros. Un revenu sensiblement inférieur à celui octroyé aux finalistes malheureuses (176.860 euros). Et en cas de sacre mondial historique pour les Tricolores, elles verront leur dotation atteindre 244.890 euros. Une somme conséquente certes mais même pas équivalente à la moitié du pactole promis au sélectionneur. Hervé Renard aurait négocié avec la Fédération Française de Football une prime de 600.000 euros si il parvient à mener les Bleues sur le toit du monde.

Par Faraj Benlahoucine, Media365